La vie avec un enfant autiste

Pour tous les parents, élever son enfant est un défi. Il y en a des plus turbulents que d’autres, des plus créatifs, des plus calmes. Si vous avez de la chance, toute votre marmaille sera en pleine santé et dans la norme.

Ce n’est pas ce qui nous est arrivé. Notre fils cadet, Samaël, 6 ans, est autiste. Nous avons été chanceux dans notre malchance, il est très fonctionnel, c’est une tronche à l’école, il est plus intelligent que la moyenne et il est pétillant de vie! En plus de son trouble autistique il est aussi diagnostiqué TDAH, mais c’est le moindre de nos soucis, puisque je le suis probablement, et … je pense que je m’en suis très bien sortie dans la vie!

Samaël est mon rayon de soleil et tous les jours il nous fait rire, il nous fait s’émerveiller et j’adore voir notre monde à travers ses yeux. Les autistes ne pensent pas comme nous, mais ils sont très intelligents et vifs.

Par moments, on voit comment son cerveau analyse les choses différemment de nous. On lui pose des questions et souvent ses réponses ne sont pas du tout ce à quoi on s’attendait, mais en même temps, elles sont vraies, drôles et pleines de bon sens. Il arrive que ses répliques nous rappellent sa différence, on perçoit les limites de l’interprétation que son cerveau peut analyser dans nos paroles. Avant, ça nous inquiétait, mais maintenant, on préfère en rire et on s’émerveille quand même de ses réponses si particulières.

C’est pourquoi, de temps à autre, je vais faire des mini-posts sur ces répliques hilarantes, touchantes et parfois bizarres que seul Samaël peut imaginer. Je le fais pour moi, comme souvenir, comme outils pour mesurer ses progrès, mais aussi pour partager avec vous tous ces moments touchants et cocasses.

Je termine donc ce post avec cette brève discussion, que moi et mon conjoint, avont eue avec Sam aujourd’hui.

Vivre avec un enfant autiste : Capsule #1

Papa : Ce soir Samaël, est-ce qu’on va au Kong-Fu?
Samaël : Non, le Kong-Fu c’est juste le mercredi et le vendredi soir Papa!
Papa : Mais aujourd’hui on est mercredi Sam.
Samaël : (Avec un ton de t’es ben nono Papa) Mais non! On est samedi Papa!
Moi : Je pense que Papa est dans les patates!
Samaël : (Avec un ton de t’es ben nounoune Maman) Maman, c’est un humain, il est dans rien du tout!

 

 

Connaître ses limites

Il est important de bien connaître ses limites physiques et morales quand on entreprend un régime et un programme d’entraînement. Vous devez tenir compte de vos restrictions physiques, si vous en avez, de votre âge et de votre était de santé en général.

Prenez moi en exemple. Quand j’avais 16 ou 17 ans, je pouvais parcourir 75 à 100 km de vélo dans une journée. Je n’avais pas de permis de conduire à l’époque, si je voulais aller chez des copines, qui habitaient les villages voisins, j’y allais en vélo. Je parcourrais de longues distances. Maintenant j’ai 31 ans, j’ai eu 2 enfants et je ne fais plus du tout d’activités physiques intenses. Il est tout à fait irréaliste pour moi de parcourir 100 km à vélo demain.

Autre exemple, j’ai développé des troubles de la voûte plantaire dans les deux dernières années. Les spécialistes appellent ça une fascite plantaire. J’ai ce problème aux 2 pieds et je dois porter des orthèses pour éviter d’avoir des douleurs. Comme je commence un programme de course à pied et que je suis au courrant de mon handicap, je dois faire attention de ne pas trop forcer la dose en courant. Mes pieds sont habitués à marcher avec mes orthèses pour de longues périodes, mais l’impact de la course est plutot désagréable et je dois habituer mes pieds peu à peu à ce traitement.

J’ai donc pris la décision de faire du jogging une journée et du vélo la journée suivante. Comme ça je diminue la pression sur mes pieds et je travaille tout de même mon cardio. Tranquillement, mes pieds vont s’endurcir et je vais pouvoir jogger tous les jours à ce moment là.

Donc, si au début, votre état ne vous permet pas de pratiquer les activités désirées, ne vous inquiétez pas, avec un peu de travail et des exercices adaptés vous pourrez améliorer votre état pour parvenir à votre but.

Dans le doute, si vous ne savez pas si une activité physique est adéquate pour vous, si vous avez une condition physique que vous croyez problématique pour votre entraînement, contactez votre médecin, il pourra vous indiquer des exercices plus adaptés à votre situation.

Se donner un but réaliste et des références de départ

Comme je l’ai mentionner hier, je commence à me mettre en forme et à manger mieux afin de perdre du poids. Pour réussir toute bonne résolution, il est préférable de se donner un but réaliste pour affronter la tâche à accomplir. Se donner un but dans le temps permet de bien situer nos progrès et d’évaluer si l’effort est suffisant pour y arriver.

Pour ce qui est de ma perte de poids, j’aimerais perdre 25 livres d’ici 3 mois. Donc, le 26 septembre, je devrais peser 125 livres. C’est beaucoup et en peu de temps, mais je crois que je peux y arriver. Imaginez, je n’ai pas pesé ce poids depuis environ 8 ans!

En plus d’améliorer mon poids et mon apparence, j’aimerais améliorer ma santé en apprenant des recettes santé, mais qui sont tout de même savoureuses. À celà j’ajoute que mon était physique est lamentable et que c’est une priorité pour moi d’améliorer mon cardio et ma force.

Pour se rendre compte de l’amélioration, il faut trouver des critères de départ pour bien visualiser les améliorations physiques, par exemple, le nombre de kilomètres parcourus, le nombre de pas effectués, le nombre de push-up maximum en une minute ou tout simplement les mensurations.

Voici donc les données de départ que j’ai recueillis jusqu’à maintenant et d’autres s’ajouteront au fil du temps, selon les autres améliorations que je souhaite.

Poids : 70 kg (154 livres)
IMC: 24,8% de gras: 36,7

Voici mes mensurations de départ
Tour de poitrine : 96 cm (37 3/4 pouces)
Tour de hanche : 97 cm (38 1/4 pouces)
Tour de taille : 90 cm (35 1/2 pouces)
Tour de cuisse : 59 cm (23 1/4 pouces)
Tour de mollet : 38 cm (15 pouces)
Tour de cou : 33 cm (13 pouces)
Tour de bicep : 30 cm (11 3/4 pouces)

Voilà pour mon corps, voici maintenant mes données de départ pour le cardio. J’ai été faire une petite scéance de jogging. J’ai une montre Smart Health qui possède un podomètre, un odomètre et un moniteur cardiaque, alors je peux enregistrer plein de données sur mes courses. Mon podomètre est réglé pour des foulées de 99 cm, alors il me donne le kilomètrage selon le nombre de foulées que j’ai fait. Pour que le calcul soit exact, j’arrête le podomètre dès que je dois arrêter pour marcher ou faire une pause. Comme mon cardio est vraiment nul pour le moment, je cours 30 secondes, ensuite je marche 2 minutes, je cours 30 secondes, je marche 2 minutes et ainsi de suite. donc vous comprendrez que mes résultats de départs vont être très nuls, car je n’ai que les données des moments ou je cours, les moments où je marche ne sont pas inclus.

Nombre de pas courrus : 764 pas
Kilomètrage parcourru : 0,75 km
Rythme cardiaque moyen : 149 battements par minutes
Capacité cardiaque utilisé : 76%
Temps total avec marche à pied : 20 minutes

Voilà! Je ferai un beau petit tableau pour intégrer tout ça et voir le portrait en un seul coup d’oeil, mais ça attendra demain, pour l’instant, dodo!

Mon défi minceur

Je suis une jeune maman, j’ai vécu des moments difficiles ces trois dernières années et après avoir fait une dépression en 2012, j’ai décidé de reprendre ma vie en main. J’ai dû commencer par le début, faire le ménage dans ma tête, dans mon coeur et redécouvrir qui j’étais pour pouvoir me reconstruire. Bien sûr, j’ai dû accepter l’aide de mon médecin et prendre ces fameuses pillules, « les antidépresseurs ». Juste le nom fait peur!

Maintenant que ma tête, mes idées et mon esprit sont en paix et que la dépression est derrière moi, j’ai pu graduellement cesser ma médication. Mais depuis j’ai toujours faim! C’est incroyable à quel point je peux manger depuis que j’ai été sevré de ces pillules. Donc, depuis que j’ai cessé de les prendre j’ai pris quelques kilos! Après avoir pris ma vie émotive en main, il est maintenant venu le temps de prendre mon corps en main!

C’est pourquoi j’annonce ici mon défi minceur! Je vais commencer à m’entraîner un peu et à manger plus sainement. Chaque semaine, je vais vous faire part de mes progrès, de mes petits trucs, de mes recettes et des exercices que je pratiquerai. Il est libre à vous d’essayer ou de vous inspirer de mes articles. Je ne m’inscris pas au gym, alors ce sera entièrement des exercices que je peux faire à la maison ou à l’aide de ma Wii. J’annonce aussi que je ne suis pas une spécialiste, juste une maman qui essaie par elle-même d’améliorer son apparence. Donc les choses que je vais faire vont peut-être marcher pour moi, mais ce n’est pas garantie qu’elles fonctionneront pour tout le monde.

Pour commencer, je vous partage une recette de smoothie déjeuner que j’ai trouvé sur un site génial, le Super Skinny Me. Le smoothie en question est un smoothie déjeuner. Il est santé et comporte tout ce qu’un déjeuner devrait avoir pour permettre de se rendre au dîner sans mourrir de faim. Voilà la recette:

1/4 tasse de gruau d’avoine (pas du instantané)
1/4 tasse de noix (de cajoux, de grenoble, amandes…)
1 banane mûre
1 tasse de fruits congelés
2 1/2 c. à table de yogourt léger
1 tasse de lait écrèmé ou de boisson de soya ou amande

Vous mettez tous les ingrédients dans le mélangeur et voilà! Un super déjeuner complet! Le gruau et les noix aideront à ralentir l’absorbtion des sucres contenus dans les fruits. Ce qui aura pour effet de garder le niveau de sucre stable dans votre sang et d’ainsi donner de l’énergie plus longtemps à votre corps. Les protéines contenues dans le lait et le yogourt vous permettront de vous sentir pleins plus longtemps. Finalement, les fruits sont une bonne source de vitamines, de minéraux, de fibres et de bons sucres qui sont nutritifs et énergisants!

Je n’y ai pas goûté encore, ce sera mon déjeuner demain matin!

Ces personnes qui inspirent

L’inspiration est essentielle en création. Il est possible d’être inspiré par des images, des idées, des couleurs, des sons, des films, etc. La liste des sources d’inspiration peut être infinie, mais je crois que la plus grande force d’inspiration c’est les gens. Les gens qui nous ont côtoyés dans le passé, ceux qui sont à nos côtés dans le présent et les personnes que nous connaîtrons dans le futur.

Mon grand-papa

Très jeunes, ce sont les personnes de ma famille qui m’ont inspirés. Mon grand-papa étais toujours prêt à me prendre sur ses genoux, un papier et un crayon à la main, pour dessiner des chevaux avec moi. Les chevaux étaient une vraie passion pour moi à l’époque. Je considérais mon papy comme le meilleur dessinateur de chevaux et j’ai beaucoup appris sur ces superbes bêtes avec lui.

Ma maman était très nulle en dessin. Elle l’est encore d’ailleurs, mais elle savait dessiner des petits cygnes avec le chiffre 3 pour faire les ailles. Elle ne savais rien dessiner d’autre, et comme je l’ignorais, je trouvais que ma mère dessinait les cygnes à la perfection.

En grandissant, mes techniques de dessin ont surpassés les leurs, mais pour moi, mon papy est toujours le plus grand artiste des chevaux et ma maman… bon, elle ne sais même plus comment dessiner ses petits cygnes, mais elle est, pour moi, la femme la plus extraordinaire qui existe.

Rénald Gauthier

À l’adolescence, j’ai eu un professeur de français pas comme les autres. Il se nomme Rénald Gauthier (Cliquez ici pour son site internet). Professeur de français le jour, professeur de peinture le soir, il a été une des personnes les plus importantes de mon parcours artistique. Homme patient, dévoué, confiant et encourageant, il enseignait l’art de façon à ce que ses élèves trouvent leurs propres voies. Il ne juge jamais, toutes les formes d’art et les façons de faire sont valables. Grâce à lui j’ai découvert qu’il n’y a pas de personnes plus talentueuses que d’autres, seulement des styles artistiques différents. C’est lui qui m’a initié au monde des expositions et cet univers m’a permit de rencontrer des dizaines et des dizaines d’autres artistes. J’ai adoré l’expérience. Rénald Gauthier à été et est toujours à ce jour, une grande inspiration pour moi.

André Keough

Quand j’ai entrepris mes études de graphisme, j’ai dû cesser les cours de peinture car je suis allé habiter à Montréal. J’ai eu plusieurs professeurs inspirants là bas, mais celui que j’ai aimé le plus c’est mon professeur de multimédia, André Keough. Cet homme est un modèle d’entraide, de don de soi et de générosité. Il était toujours prêt à aider, que ce soit pour un projet scolaire ou pour réparer nos ordinateurs. Je crois que c’est de lui que me viens mon intérêt pour la création de forums, blogs et sites internet. J’adorais ses cours, apprendre à créer des clips, des montages de films, des bandes annonces et des animations flash.

Après le graphisme, j’ai rencontré mon merveilleux conjoint et nous avons mis au monde les deux plus merveilleux garçons du monde. La grossesse de mon premier fils, Tristan, a fait surgir en moi une envie de créer quelque chose pour lui, qu’il pourrait à son tour transmettre à ses enfants plus tard. J’ai donc appris le crochet. Depuis ce temps, mes enfants, ainsi que les enfants de mes proches sont une énorme source de découverte pour moi. J’essaie de voir et de ressentir les choses comme eux, de leur fabriquer des choses amusantes et belles.

Mon homme Julien, mon petit homme Tristan et moi

Tristan, 4 ans

Samaël, 2 ans et demi

Ma maman et mon petit Tristan à 3 semaines

Je vous ai un peu parlé de ma mère, j’ai une deuxième raison de vous la mentionner. Malgré le fait qu’elle ne dessine pas et qu’elle n’ai pas vraiment d’aptitudes artistiques, ma maman est la meilleure critique qui existe! S’il y a un défaut, une erreur ou quelque chose qui cloche dans mes créations, vous pouvez être sûr qu’elle va le trouver et m’en faire part. Quand j’étais adolescente ça m’agaçait! J’avais l’impression que rien n’était assez bien pour elle. Maintenant je sais que c’était un enseignement. Elle m’apprenait la patience, le perfectionnisme, le dépassement de soi et l’amour du travail bien fait. Je la remercie d’avoir toujours été là et de toujours m’encourager dans mes trois cents millions de projets. Je pense, par moments, qu’elle croit en moi encore plus que je ne le fait moi-même.

Mon merveilleux papa et moi

Je ne peux pas passer par dessus mon gentil papa. Il est l’exemple même de la générosité et de l’entraide. Plus jeune, je ne m’entendais pas toujours très bien avec lui. Aujourd’hui je comprend pourquoi, il est le pire workaholic du monde, et moi, j’ai toujours préféré dessiner et m’amuser plutôt que de travailler. Il a eu une patience en or de me supporter toutes ces années. Bon aujourd’hui j’ai toujours plus coudre, dessiner, crocheter et dessiner que de faire le ménage, les courses ou entretenir ma maison, mais je crois que j’ai quand même retenu un peu de lui dans ma façon de créer. Je ne ménage pas mes efforts pour fabriquer des objets plus compliqués, plus utiles, plus sophistiqués et pratiques. Mon papa avait une devise : « Quand tu fais quelque chose, fait le bien. » et je crois que ça se voit dans mes créations. J’aimerais, un jour, pouvoir vivre de mon art. Ça lui prouverais que toutes ces fois où il croyait que je ne faisais rien, en fait, je m’entraînais pour mon « travail ». Ne pensez pas que je lui en veux, non, au contraire. C’est juste le bon petit coup de pied là où je pense dont j’avais besoin. Je vénère mon père. Selon moi, c’est l’homme le plus merveilleux de la terre (après mon homme à moi bien sûr). Ma mère a bien de la chance de l’avoir et moi, j’ai aussi de la chance d’avoir un papa aussi chouette.

Ma grand-maman

Ensuite, il y a ma grand-maman du côté maternel. Elle fait du tricot, du crochet, du métier à tisser et du jardinage. Elle a souvent voulu me montrer à tricoter quand j’étais enfant, mais à l’époque, tout ce qui m’intéressais, c’était le dessin. Maintenant que je voudrais apprendre à ses côté, j’habite a presque quatre cent kilomètres de chez elle et on se voit que quelques fois par années. Enfant, j’allais aider ma grand-mère à faire son jardin à chaque printemps. Je crois que c’est pour ça que j’aime tant les plantes. Ça me rappelle les bons moments passés avec elle, les mains dans la terre. Je l’admire beaucoup, elle sait faire tellement de choses. Dès que je peux lui rendre visite, je lui montre les choses que j’ai crocheté et elle me montre ses projets à elle. J’adore ces moments où je suis juste avec elle, on parle de tout, mais surtout de plantes, de laine et des enfants.

Finalement, il y a mon autre grand-maman, elle est décédé il y a à peine 2 ou 3 ans. Elle me manque énormément et elle est ma plus grosse inspiration en ce moment. C’est la personne la plus créative et versatile que j’ai connu. Elle savais tout faire. Le feutre, le tissu, les perles, la broderie, le métier à tisser, la laine… Elle savait faire tellement de choses, je ne peux pas toutes les énumérer. J’ai grandi en la voyant faire toutes ces choses magnifiques et j’ai longtemps espéré être aussi adroite qu’elle. Maintenant que je crois être capable de faire la plupart des choses qu’elle faisait, elle n’est plus là pour que je puisse partager cette passion avec elle. Après ses funérailles, on s’est réuni toute la famille pour se partager ses possessions. Comme je suis la seule artisane de la famille, j’ai hérité de ses patrons, aiguilles et crochets. Chaque fois que je les utilise, je pense à elle et je ne peux m’empêcher de penser que c’est un peu d’elle que je met dans chaque ouvrage. J’ai une profonde admiration pour elle, elle avait vraiment des mains de fée. Voyez le superbe mobile qu’elle m’avait fabriqué quand j’étais jeune.

Mobile en perles fabriqué par ma grand-maman

Toutes ces personnes son un peu mes muses. J’ai beaucoup appris de chacune et je les admire. Ils sont à la fois mon inspiration, l’endroit d’où je viens, mes professeurs et mon audience. Je crée pour me dépasser moi-même et surtout pour les remercier d’être, ou d’avoir été là pour moi. Sans eux, je ne serais pas qui je suis maintenant.

J’espère qu’un jour, je serai aussi pour quelqu’un d’autre, une personne qui inspire.

Et vous, qui sont les personnes qui vous inspirent et pourquoi?

 

 

Semaine de relâche

Désolé de mon absence prolongée. C’est la semaine de relâche et j’en ai profité pour rendre visite à ma petite maman et mon gentil papa. Comme ils habitent à 4 heures de chez moi, quand j’y vais je pars pour plusieurs jours. Mes parents habitent à la campagne, pas d’internet, donc, impossibilité pour moi de bloguer!

En revenant de ma petite visite familiale, les enfants et moi sommes allés faire du tourisme à Montréal. Nous avons été visiter le Biodôme! Les enfants ont adorés leur expédition dans cette immense structure à l’intérieur de laquelle on peut retrouver 4 écosystèmes différents. La forêt tropicale humide, pleine d’oiseaux exotiques, de petits singes, de poissons, de caïman, de capybara et de tortues.

Ara

Loriquets

singe roux

caïman

Ensuite on a pu voir les animaux de la forêt boréale, des animaux d’ici, mais mes enfants n’en avait jamais vu alors ils ont adorés. Parmis les animaux qu’on a pu voir, il y avait le castor, la loutre, le lynx et le porc-épic.

castor

loutre

Lynx

porc-épic

Après la forêt boréale il y a la vie aquatique. Donc on a eu l’occasion de voir plusieurs espèces de poissons d’eau douce et d’eau de mer ainsi que plein d’oiseaux marins.

Raie

Esturgeon

Le dernier écosystème du biodôme est l’arctique. On peut y voir des manchots et des macareux.

Macareux

Gorfou

Le Biodôme est situé juste à côté du stade olympique, alors on en a profité pour prendre une petite photo de sa tour.

Tour du stade olympique

Voilà donc notre superbe voyage dans le monde des écosystèmes de notre planète! Une visite que je recommande chaudement! En plus, c’est éducatif et fascinant, autant pour les petits que pour les grands.